Pour préparer ses courses, Anaïs Bescond bénéficie du soutien de son technicien. Le pontissalien Frédéric Guyon, avec qui elle avait déjà travaillé au comité régional.
Nove Mesto. C’est censé être une relation purement professionnelle, sauf qu’entre Anaïs et Frédéric Guyon, les atomes sont crochus. Bien crochus. Scéllés à la glu de l’humour et de la joie de vivre. Basée sur le principe du qui aime bien, châtie bien. « Nanass » et « Titi » ont toujours la petite pique pour parler de l’autre. « Elle n’est pas chiante », assène le Doubien au sujet de son athlète. « Il est nul ! », se désole la Jurassienne avant que les deux ne partent dans un énorme éclat de rire. Mais voilà, on est là pour parler boulot et souvent de cette partie invisible de la relation entre l’athlète et son technicien.
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Source : JOLIOT Bertrand. Pas purement matériel. In : L’Est Républicain. le 12 février 2013